Placements abusifs : Les journalistes de Marianne dévoilent

Les journalistes devaient le faire,Marianne  l’a fait ! L’ENFANCE AU CŒUR rend hommage à l’engagement du journaliste et de la rédaction. Ce dossier de 6 pages sur LE RETRAIT D’ENFANTS INJUSTIFIÉS autrement dit LES PLACEMENTS ABUSIFS est bien le premier qui met un pavé dans la mare de ce scandale, et L’ENFANCE AU CŒUR salue la qualité de l’investigation. C’est un sujet qui fâche mais qui fait souffrir tant et tant de familles ce qui justifie qu’il soit salué et relayé. Oui, il y a des milliers d’enfants placés parfaitement inutilement et pour des motifs tout à fait insuffisants, et oui, ces enfants souffrent terriblement d’un éloignement de leur famille, destructeur et inhumain.
Les juges des enfants, donnant une foi totale aux rapports sociaux, et les rapports sociaux faisant ronronner une mécanique idéologique, de plus avantageuse pour les finances du secteur, ont bâti un système qui non seulement ne protège pas les enfants qui en ont besoin, mais détruit ceux qui n’auraient jamais dû tomber « entre leurs mains ». C’est tout le mérite de cet article de Marianne qu’il faut acheter, lire et faire circuler, tant ce sujet est en train d’émerger et doit être connu : la protection de l’enfance dysfonctionne, nous le savons tous, mais la démocratie judiciaire part à la dérive quand des familles se voient retirer leurs enfants pour des motifs futiles, et livrent un long combat pour récupérer leur enfant victime de ce kidnapping légal.
LISEZ, SACHEZ-LE, BATTONS-NOUS contre ce scandale sans nom que des citoyens connaissent alors que tout parent et enfant peut être concerné : LE RETRAIT D’ENFANTS INJUSTIFIÉ

 

https://www.marianne.net/societe/aide-sociale-l-enfance-pourquoi-tant-de-placements-abusifs

13 Commentaires sur “Placements abusifs : Les journalistes de Marianne dévoilent

  1. Lagut says:

    Je vis un placement abusif de mes 2 jeunes enfants de 5 et 7 ans.
    Au sein même de leur école, un arrachement par force policière, aucun document le jour même, mais le lendemain une ordonnance sans greffier ni procureur.
    Au préalable rapports faux, abus policiers.
    Les enfants ont été transférés dans un lieu inconnu, pas de correspondance possible, mais quelques appels écourtés par les agents notamment lorsque mon enfant évoque dent (s?) cassée (s?), réparée (s?) par dentiste, en plein confinement.
    Mon plus petit souhaitant pleurer mais n’y arrivant plus. Mes enfants
    sont en souffrance extrême. Ceci nié par les agents ASE.
    J ai observé un sévère défaut de soins.
    Les enfants exposent qu’on leur a pris leur affaires, parlent de vols, de grands qui les embêtent vraiment.
    Mon enfant a peur d aller à la salle d d’eau.
    La liste est trop longue. Des éléments glaçants que je conserve mais que je peine à faire entendre.
    Alors que, mes enfants étaient suivis d un point de vue médical, bon niveau scolaire, bonne présentation et élocution.
    Je dispose de multiples témoignages. Aujourd’hui, je ne sais pas s ils sont dans le département.
    Je demande des nouvelles, des photos pour appréhender leur état physique.
    Mais on me refuse tout visuel.
    Je viens de recevoir un courrier me menaçant car je ne serais pas assez compliante.
    Je dénonce un placement abusif car basé sur des rapports faux.
    Et, illégale car la saisie des enfants par force policière s est effectuée sans procureur.
    Sans compter les audiences, parfait huit clos, séance à charge, absence de greffier, écartement des pièces, un déroulement qui apostrophe sur le fond et la forme.
    Les menaces de placement sommaire de mes enfants reçues en 2018, sont devenues effectives en 2020.
    Mon ex concubin initiateur de cet acharnement judiciaire.
    Il était violent.
    J ai dénoncé les faits supportés.
    Il m a promis de tout perdre, d avoir appui auprès du chef de la judiciaire de mon secteur, un membre de sa famille.
    Résultat, aucune condamnation
    pour ces faits ce jour. Je dispose d aucune aide.
    Apres des mois de batailles. Je dénonce une situation intenable d entrave à mes recours, d abus, des violences restées impunies. Aujourd’hui mes enfants sont pris en otage.
    On m expose qu ils sont enfermés dans des unités, ne peuvent m écrire. Je m epuise.
    Je viens d apprendre que j ai un cancer du sein, stade avancé.
    Je suis épuisée par des chocs à la chaine.
    Je ne peux plus protéger mes enfants. Je n arrive à être représenté par un avocat pouvant répondre de cet acharnement judiciaire à mon encontre.
    J ai peur avant tout pour mes enfants que je souhaite voir libres, soignés, écoutés et protégés.
    Pouvez vous m aider ?
    Cordialement.
    Lagut Sylvie.

    • Lagut says:

      Je vis un placement abusif de mes 2 jeunes enfants de 5 et 7 ans.
      Au sein même de leur école, un arrachement par force policière, aucun document le jour même, mais le lendemain une ordonnance sans greffier ni procureur.
      Au préalable rapports faux, abus policiers.
      Les enfants ont été transférés dans un lieu inconnu, pas de correspondance possible, mais quelques appels écourtés par les agents notamment lorsque mon enfant évoque dent (s?) cassée (s?), réparée (s?) par dentiste, en plein confinement.
      Mon plus petit souhaitant pleurer mais n’y arrivant plus. Mes enfants
      sont en souffrance extrême. Ceci nié par les agents ASE.
      J ai observé un sévère défaut de soins.
      Les enfants exposent qu’on leur a pris leur affaires, parlent de vols, de grands qui les embêtent vraiment.
      Mon enfant a peur d aller à la salle d d’eau.
      La liste est trop longue. Des éléments glaçants que je conserve mais que je peine à faire entendre.
      Alors que, mes enfants étaient suivis d un point de vue médical, bon niveau scolaire, bonne présentation et élocution.
      Je dispose de multiples témoignages. Aujourd’hui, je ne sais pas s ils sont dans le département.
      Je demande des nouvelles, des photos pour appréhender leur état physique.
      Mais on me refuse tout visuel.
      Je viens de recevoir un courrier me menaçant car je ne serais pas assez compliante.
      Je dénonce un placement abusif car basé sur des rapports faux.
      Et, illégale car la saisie des enfants par force policière s est effectuée sans procureur.
      Sans compter les audiences, parfait huit clos, séance à charge, absence de greffier, écartement des pièces, un déroulement qui apostrophe sur le fond et la forme.
      Les menaces de placement sommaire de mes enfants reçues en 2018, sont devenues effectives en 2020.
      Mon ex concubin initiateur de cet acharnement judiciaire.
      Il était violent.
      J ai dénoncé les faits supportés.
      Il m a promis de tout perdre, d avoir appui auprès du chef de la judiciaire de mon secteur, un membre de sa famille.
      Résultat, aucune condamnation
      pour ces faits ce jour. Je dispose d aucune aide.
      Apres des mois de batailles. Je dénonce une situation intenable d entrave à mes recours, d abus, des violences restées impunies. Aujourd’hui mes enfants sont pris en otage.
      On m expose qu ils sont enfermés dans des unités, ne peuvent m écrire. Je m epuise.
      Je viens d apprendre que j ai un cancer du sein, stade avancé.
      Je suis épuisée par des chocs à la chaine.
      Je ne peux plus protéger mes enfants. Je n arrive à être représenté par un avocat pouvant répondre de cet acharnement judiciaire à mon encontre.
      J ai peur avant tout pour mes enfants que je souhaite voir libres, soignés, écoutés et protégés.
      Pouvez vous m aider ?
      Cordialement. MERCI de toute réponse.
      Lagut Sylvie.
      Je suis joignable au 0761535645

    • Lagut says:

      SIGNALEMENT MORT SUSPECTE :
      Situation de LAGUT Sylvie et ses 2
      ENFANTS MINEURS enlevés à 5 et 7 ans.
      => RAPT BRUTAL le 10 février 2020,
      => Dénonciation d’une maltraitance institutionnelle à but de détournement extraordinaire de fonds publics par FAUX et usage de faux avec l’usage de documents irréguliers, d’une CADUCITÉ FLAGRANTE,
      c’est-à-dire sans SCEAU.
      Ce dernier est pourtant garant de l’identité du juge et de l’authenticité de l’acte, sans quoi ces documents peuvent être écrits par n’importe qui et être modifiés n’importe quand.
      Ce qui est extrêmement grave.
      Les conséquences sont dramatiques.
      Dans le cas de SYLVIE LAGUT (71),
      Ce n’est pas une placement abusif de 2 enfants mineurs, vulnérables,
      c’est par constat un RAPT brutal d’enfants mineurs,
      avec l’implication d’agents en mission ASE,
      de personnes dépositaires de l’autorité publique,
      agissants par ACTE BRUTAL TOTALEMENT ARBITRAIRE,
      SANS ordre du PROCUREUR,
      SANS DÉCISION d’un JUGE,
      sans document légal jusqu’à ce jour,
      et,
      dans l’intérêt de DÉTOURNER des FONDS PUBLICS .
      ( minimum 7000€ par enfant / mois, soit dans ce cas un montant proche de 500 000€ de détourné depuis le 10 février 2020).
      En conséquence,
      => Parquet national financier alerté.
      => Parquet national antiterroriste, gérant les dysfonctionnement de services étatiques, également alerté.
      Dans cette affaire, il y a l’implication de l’ex-conjoint à LAGUT SYLVIE, qui a impulsé cet acharnement sociojudiciaire extraordinaire.
      Ce jour, les enfants, sont totalement disparus.
      Lagut Sylvie, MÈRE démunie, qui a supporté un terrible acharnement, est restée complètement entravée dans ses recours concernant le rapt brutal de ses 2 enfants mineurs.
      Aucun courrier, saisine par voie électronique, notification par huissier de justice n’a abouti.
      Aucune réponse à sa requête en nullité , inscription en faux, demande d’audition, de mise en protection, auprès du tribunal compétent.
      Elle a fait le constat d’une entrave à la correspondance du Procureur par simple greffier.
      Un avocat, sur le secteur géographique posant problème, l’a dépouillé, d’un montant de 8000€ d’emblée pour ne rien faire malgré les faits évidents déplorés.
      Etant la soeur jumelle, restant préoccupée par la SÉCURITÉ de mes neveux mineurs enlevés,
      Il me semble important de communiquer que,
      LAGUT SYLVIE,
      est DÉCÉDÉE BRUTALEMENT le 11 novembre 2022, à l’âge de 41 ans, dans un contexte restant encore à étudier.
      Sans pouvoir voir, parler ou écrire librement à ses propres enfants.
      Ce qui a été torturant.
      Pour information,
      Elle a appris qu’elle n’avait pas de réelle tumeur,
      En conséquence, elle a stoppé en 2020 tout de suite le protocole de soins.
      Au vu du parcours imposé depuis le 10 février 2020, du cumul imposé,
      elle craignait pour sa vie celle de ses 2 enfants mineurs enlevés brutalement à l’âge respectif de 5 et 6 ans au sein de leur groupe scolaire par acte arbitraire,
      sans document légal,
      afin d’être transférés SOUS CONTRAINTE vers un lieu INCONNU.
      L’ex-conjoint, impliqué dans cette affaire, n’a répondu jusqu’à ce jour à aucune sollicitation (téléphone actuel ? Adresse actuelle ? ).
      Ce dernier s’était déjà déresponsabilisé volontairement pendant 4 ans, entre janvier 2016 et février 2020, date d’enlèvement.
      Il a clairement fait usage, via ses appuis, de document d’une CADUCITÉ FLAGRANTE afin de soustraire totalement les enfants (lieu de vie actuel ?).
      Sylvie est restée fortement préoccupée par la SÉCURITÉ, la SANTÉ, la SCOLARITÉ, le BON DÉVELOPPEMENT de ses enfants.
      Cela a été humainement insoutenable.
      Elle déplorait un travail à l’oubli, à l’effacement du lien mère/enfants.
      Ce jour,
      – Comment vont-ils ?
      – Savent- ils pour le décès brutal de leur mère ?
      – Sont-ils eux-mêmes vivants ?
      Croyant encore en l’état de droit, en la justice,
      Je laisse ce message pour donner un sens à L’ESPOIR conservé jusqu’au bout de ma sœur jumelle défunte.
      Restant moi-même, en tant que tante préoccupée, dans l’incertitude du devenir de mes 2 neveux mineurs enlevés et totalement disparus.

      • Fred says:

        Bonjour,
        J’ai connu votre sœur, personne attachante et d’une bienveillance rare.
        Si je peux vous aider, d’une façon ou d’une autre, je le ferai volontiers.
        Je suis joignable au 0681437445
        Bien sincèrement.

  2. Christel Lombard says:

    Bonjour je suis a la rechercher de témoignages j’aimerais savoir si juge ou assistante sociale ont été condamnées par la justice suite à des plaites pour faux en signature escroquerie au jugement faux et usage de faux car moi c’est un kidnapping par une juge qui a enlevé mes enfants dont mon bébé de 7mois en vu de le faire adopter il faut préciser aussi que quand vous avez un avocat lui c’est que votre argent qu’ils veux un jour quelqu’un finira par tuer juste pour quand on porte plainte y a obligation d’enquête comme ça la procédure ira plus vite

  3. Laetitia says:

    Bjr j’ai besoin aide 2ans mes enfants son placer abusivement je ne peut plus rester comme sa j’ai besoin aide conseil

  4. Francouse Delaporte says:

    Bonjour
    J’ai ma fille qui a 4 magnifiques enfants qui habite à l’Herm
    Son ex fait tout pour que les enfants soient placés depuis 4 ans
    Il lz dénoncé pour maltraitance
    Elle a eu la Amo
    Il Est toujours en train de porter plainte contre elle pour tout et n’importe quoi
    La seule chose il a sa famille dans la justice donc il fait ce qu’il veut
    En 2011 il y a une plainte contre lui car il atiré une enfant dans son lit plainte perdu elle est réapparu 5 ans après vice de procédure
    Il il y a un an et demi une autre plainte pareil des plainte perdus
    Il fait ce qu’il veut avec la justice
    Hier ce monsieur est venu au juge des enfants
    Sans aucune raison ils ont placé les 4 magnifiques enfants
    Au lieu d’aider ma fille qui a du mal on a préfére les mettre à l Ase
    Dans Des foyer de délinquant car j’ai vu beaucoup de reportages
    Alors que c’est des enfants qui ont besoin d’aide recadrer car la maman a du mal c’est tout
    Hier à Toulouse j’ai crié mon désarroi
    Je vais tout faire quitte à faire une grève de la faim à me faire entendre dans toute la France entière la juge rion
    N’a pas fait son travail
    Ainsi que les éducatrices de toulouse
    Ma fille et au plus mal mes 4 petits-enfants aussi la plus grande parle de fugue moi je suis la mamie et je ne laisserai pas faire j’espère que vous allez pouvoir m’aider
    Je vous remercie une mamie en colère
    Je suis pas d’accord avec cette justice en France il y en a aucune simplement pour les racailles je suis en colère et croyez-moi on va entendre parler de moi merci cordialement

  5. Patte says:

    Bonjour ma femme a donné le jour a 2 petite fille 2 jumelles hôpital de Beauvais Oise nous ons calculer mauvais parents a notre a notre physiques nos filles ont était placé de suite je trouve ça horrible ont se bat depuis 4 ans pour les récupérer

  6. Poupa gil says:

    Je me nomme gil poupa père de 3 enfants Yannick 12ans megane 10ans et lily qui a eu 1 an le 23 septembre je vous écrit dans l espoir que vous m entendiez je doit a 16h 30 récupérer mes enfants à l école alors que je viens d apprendre que pour quelques rdv manqué avec les services sociaux par moi pas par ma femme et tte un tas de raison monter comme une mauvaise histoire la justice veut placer mes 3 bb .depuis leur naissance j ai passer chaque seconde de ma vie à être auprès d eux même en 2015 quand je me suit retrouvé seul avec mes 2 plus grand j ai toujours fait en sorte d être un exemple pour mes enfants et en 2019 leur maman et rentre et nous avons repris notre vie .je ne suis pas un père violent je ne me drogue pas je pense être un homme bien. Mais voilà qu aujourd’hui je vais sûrement devoir dire à ce qui compte le plus pour moi que bientôt il ne vivron plus dans leur maison j ai tte preuves nessecaire pour dire que ce simulacres de jugement et baser sur des diffamation et encore une fois j ai les preuves. Ma propre avocat avocat commi d office ma dit l appel si vous voulez mais les services sociaux auront tjr se qu’il veulent. Je connais autour de mois des enfants qui eux pour le coup sont en danger mais je le jure devant dieux que dans cette maison il n y a que amours et famille. Je me sens démunis je ne peux m imaginer vivre une journée sans être avec eux c est àvec un profond désespoir que je vous écris aider moi aider ma famille nous sommes des gens simples et ne méritons pas se qui est sur le point de se passer je vous remercie d avoir pris le temps de me lire

  7. Saby says:

    Bonjour,
    Il n’y a pas mal de choses qui ne fonctionne pas correctement dans tous le réseau PMI ASE CMP. Le pire c’est que la police m’avait dit de me méfier, des avocats trouve qu’il y a beaucoup de soucis avec ces institutions et même des associations d’handicapés également.

    On a écarté l’hypothèse( la cmp) que ma fille avait une TSA. Parce qu’elle avait de l’empathie…. Alors qu’une personne d’une association autiste m’a rapporté que « sûrement pas » et qu’au vu des nombreux points pouvant faire penser qu’elle est des troubles lier il faudrait que je vois un réel professionnel sachant diagnostiquer cette handicap, car on a mis ma fille handicapé sans diagnostic…. Et que la pmi avait noter que ma seconde avait 20/100 d’handicap et quand j’ai dit que j’étais en mesure d’apporter un document du kiné qu’elle n’avait aucun handicap sur sa motricités. Ils l’ont retiré ( la pmi).
    Donc oui je ne pensais pas ces institutions dangereuses mais je m’en veux énormément d’avoir fait appel à elle pour le changement d’attitude de ma fille lors de la grossesse, car suite à la vision du dossier cmp je vois bien les exagérations de noter et l’envie de me retirer mes enfants en faisant bien passer ma fille pour handicapé et en stressant tout le monde y compris la maîtresse. C’est une aberration.
    C’est un gang organisé et je m’en veux d’avoir mis les pieds dedans.
    Voyez des libéraux.
    C’est gens là ne travaille pas gratuitement.
    Les enfants c’est de l’argent.

  8. El ghalbzouri says:

    A qui de droit,

    Introduction :

    Je m’adresse à vous aujourd’hui avec une profonde préoccupation et une grande détresse concernant la situation de mon fils, Tamzi-Saad EL-GHALBZOURI, âgé de 4 ans. Il a été placé dans la famille d’accueil de Madame SAGUEY à Saint-Caprais-de-Bordeaux sur ordonnances de placement provisoire des tribunaux de Bordeaux et Libourne en date du 24 mai 2019.

    Ce placement, qui est abusif, a eu des conséquences dévastatrices pour mon enfant et moi-même. Nous avons été confrontés à des traitements injustes et maltraitants de la part des services sociaux. Malgré mes efforts pour présenter des preuves démontrant le caractère abusif de cette mesure, elles n’ont pas été prises en compte.

    La situation a été aggravée par un manque de transparence et des pratiques douteuses de la part des services sociaux. Les rapports émis par ces services sont souvent biaisés et ne reflètent pas la réalité de notre situation. De plus, des erreurs administratives ont été commises, notamment l’omission de mettre en place des mesures prévues telles que le Projet Personnalisé de l’Enfant (PPE), obligatoire au bout de deux mois de placement de l’enfant. Je suis confrontée à de l’acharnement ainsi qu’à une maltraitance psychologique de la part des intervenants de l’Aide Sociale à l’Enfance de Bordeaux et de Libourne qui ne respectent pas le Plan de Protection de l’Enfance, accompagnée de faux rapports et de référents dont les informations ne sont pas correctement enregistrées avec un numéro Adeli à l’agence régionale de la santé. Cela a eu des conséquences négatives sur ma situation personnelle et celle de mon enfant, accentuant encore davantage la détresse dans laquelle nous nous trouvons.

    De plus, je suis victime de discrimination raciale de la part d’une assistante sociale de Libourne, qui ont fixé des rendez-vous incompatibles avec les heures de visite de mon fils, rendant difficile ma présence aux visites médiatisées et au rendez vous, me mettent arbitrairement dans des situations impossible sous menace d’être sous contraite.

    Ces visites ont été suspendues par décision de la maison d’enfant de Saint André de Cubzac sans raison valable alors que tout se passé bien , pourtant importantes pour mon enfant et son intérêt , elles ont été transformées en simples rendez-vous sans ordonnance, ce qui m’empêché de le voir récemment ( Depuis le jeudi 3 Août 2023).

    Je tiens à souligner que les droits fondamentaux de mon enfant et les miens ont été négligés, et que nos témoignages ne sont pas correctement pris en compte dans le processus de décision.
    Cette lettre vise à mettre en lumière les aspects positifs volontairement omis par certains acteurs, ainsi que les violations de droits qui soulignent l’injustice de cette procédure.

    Faits :

    Le 16 janvier 2019, j’ai donné naissance à un petit garçon, Tamzi-Saad.

    Le 24 mai 2019, une dizaine de policiers accompagnant Madame RENAUD, responsable de la MDSI de Bordeaux, ont débarqué à mon domicile au 97 quai des Chartrons à Bordeaux pour m’arracher des bras mon fils et l’enlever sur ordonnance de placement provisoire de Monsieur MARTIN, procureur près le Tribunal de Bordeaux et ordonnance de placement provisoire de Madame MEYER, vice-procureure près le Tribunal de Libourne.

    A l’audience du 6 juin 2019, Madame LASCAUX stipule dans ses nombreux rapports déposés à la Cellule départementale de recueil de traitement et d’évaluation, dite CRIP, ainsi qu’à l’audience du 6 juin 2019, devant la juge des enfants Madame Anne-Sophie JARNEVIC, que « Tamzi à perdu du poids, depuis deux mois, que Madame refuse le suivis à la Protection Maternelle et Infantile (PMI), et ne se présente pas aux rendez-vous proposés, que le portage n’est pas adapté, ni sécurisé, que Madame, allonge son bébé sur ses genoux pour lui donner le sein et que la mise au sein de Tamzi-Saad est inadaptée”.
    Elle me reproche également l’absence de logement alors que mon fils m’a été arraché des bras dans mon domicile de l’époque, au 97 quai des Chartrons à Bordeaux.
    Les conclusions de Maître AMAS, avocat, ayant démontré que je m’occupais particulièrement bien de mon fils, comme il en ressort de son carnet de santé et de ses suivis médicaux, la juge JARNEVIC a rendu une ordonnance de fin de placement provisoire à l’issue de l’audience. Mais elle a décidé le placement de mon fils en raison de l’absence de logement autonome puisque j’étais hébergée chez quelqu’un au 97 quai des Chartrons, avec l’engagement de me rendre mon fils si je trouvais un logement dans les trois mois. Or, alors que j’avais obtenu un logement en un mois au 9 bis avenue Georges Clémenceau à Pineuilh, malgré les relances de mon avocat Maître AMAS, la juge JARNEVIC n’a jamais donné suite à mon dossier pour mettre fin au placement de Tamzi-Saad et me le rendre et s’en est désisté quelques mois après l’audience.
    Les intervenants sociaux écrivent que j’ai des pathologies psychiatriques alors qu’ils ne sont ni psychologues, ni psychiatres. Par ailleurs, ils n’ont pas de numéro Adeli auprès de l’ARS leur autorisant d’émettre de tels rapports.

    En octobre 2019, le juge des enfants de Libourne Yohann DESQUAIRES me fait part d’un dysfonctionnement du tribunal de Bordeaux, concernant la transmission de mon dossier de mesure d’assistance éducative venant de Bordeaux qui devait être envoyé au tribunal de Libourne.

    A l’audience du 26 novembre 2019, Il déclare officiellement sa perte et indiquera par la suite une reconstitution de dossier avec des copies de rapport des services sociaux. Ceci m’a causé un énorme préjudice au vu de l’illégalité de la reconstitution du nouveau dossier en faveur de l’ASE qui a produit de fausses pièces.
    Le juge Yohan DESQUAIRES souligne le fait que  » elle est très régulière et ponctuelle dans l’exercice de ses droits, elle prépare les visites, autour de temps d’éveil et de jeux. Elle est décrite comme attentionnée, chaleureuse et enveloppante, stimule son enfant de manière adaptée et le laisse explorer son environnement tout en le sécurisant  » et « laisse entrevoir un logement investi, chaleureux et adapté”.

    Le rapport des service sociaux déposé à l’audience du 26 Novembre 2019 n’a révélé aucune maltraitance, ni malveillance, ni comportement dangereux ou inapproprié, de sorte qu’il a été établi que mon fils Tamzi-Sâad ne court aucun danger en ma présence, que j’ai toujours assuré son suivi médical.

    Devant la cour d’appel de Bordeaux, le 24 juin 2020 composé de :
    – Madame Marie Hélène Pichot, Présidente, désigné par ordonnance de Monsieur le premier
    président en date du 18 Décembre 2019 pour remplir la fonction de Magistrat délégué à la
    protection de l’enfance.
    – Madame Isabelle Delaquys et Madame Noria fauchère , conseillère.
    – Ministère public : Madame Martine Cazaban.
    Cette décision a été jugée sur le passé de la situation sans tenir compte du réel motif du placement : l’absence de logement, qui, à ce jour, n’existe plus car il a été démontré que j’ai bien un logement, par un bail locative sur Pineuilh, transmis également au juge des enfants de Libourne Yohan DESQUAIRES et à la cour d’appel.

    Le 18 Février 2020, Madame Corinne HENRY-LIGNON, psychologue clinicienne qui me suis, a réalisé une évaluation de ma personnalité :
    Elle y souligne que « la patiente fait preuve d’investissement et de régularité dans le suivi. » Elle note également que « l’entretien clinique et l’évaluation de Madame EL-GHALBZOURI ne relève pas de troubles structurels de la personnalité (idéations, paranoïa, traits psychotiques, état limite, déficience…..). »
    Enfin elle indique que « l’examen psychologique ne révèle pas de pathologie pouvant affecter sa perception de la réalité et sa parentalité. »
    Le rapport remis par l’expert psychiatrique Monsieur BONNAN (durée de l’expertise 10 minutes), indique qu’il n’est pas relevé d’anomalie mentale en lien avec une affection psychiatrique constituée chez Madame EL-GHALBZOURI et qu’il n’apparaît pas que Madame EL-GHALBZOURI puisse avoir un état de dangerosité vis-à-vis de son fils, qu’elle est capable de répondre aux besoins du mineur.

    Le 9 décembre 2022, j’ai été convoquée au Tribunal Judiciaire de Bordeaux, devant la juge des enfants Madame BOSQUET pour la mesure d’assistance éducative de mon fils, précisant que ce tribunal et incompétent au vue de ma dernière domiciliation depuis avril 2021 au 112 rue Waldeck Rousseau 33220 Sainte-Foy-la-Grande et que le tribunal compétent est celui de Libourne.

    En janvier 2023, les services sociaux m’ont imposé de signer l’autorisation d’un bilan psychologique scolaire sur Tamzi-Saad, tout en refusant que je rencontre les professionnels médico-scolaires et autres qui le suivent, ceci dans le simple but de vous laissez sous entendre un travail éducatif sur Tamzi-Saad alors qu’il n’existe aucun travail éducatif mis en place avec le service référent contrairement aux dispositions du jugement.

    J’ai demandé un élargissement de mes droits de visite, savoir une visite hebdomadaire au lieu de deux visites mensuelles, laquelle demande a été rejetée par ordonnance du 25 mai 2023. J’ai interjeté appel mais la cour d’appel de Bordeaux a confirmé ladite ordonnance le 30 août 2023.

    Liste des points volontairement occultés par vos services qui prouvent que le placement est injustifié :

    Madame LASCAUX a inscrit dans de nombreux rapports des accusations de maltraitance et malmenage à mon encontre sur la personne de mon fils Tamzi-Sâad, pour laquelle aucune poursuite pénale n’est en cours et dont à l’audience du 6 juin 2019 devant la juge JARNEVIC, les rapports m’incriminant ont pu être démontés par mon ancien avocat Maître Michel AMAS et par des témoignages probants. Malgré cela, mon fils est resté placé sans motif valable.
    Depuis fin 2019, jusqu’à aujourd’hui, le Pôle Territorial du 14 rue Jules Védrines de Libourne a désigné plusieurs inspectrices pour intervenir dans mon dossier :
    • Madame CALMEJANE, inspectrice au département de la Gironde
    • Madame JEANNARD, inspectrice au département de la Gironde
    • Madame GONZALES, inspectrice au département de la Gironde
    • Madame Stéphanie PIETRALA, Chef de service du pôle de Libourne
    • Madame Marie-Pierre DAMEME, référente sociale de Libourne
    • Madame Philomène SILUE, référente sociale Libourne

    Ainsi, la mention de maltraitance et malmenage durant la période de 2019 à 2023 laissant supposer un acte de maltraitance justifiant d’une situation de « mineur en danger », est contredites par les suivis médicaux, les témoignages, les photographies, etc, produites à toutes les audiences.

    Je tiens à souligner que Madame LASCAUX, Madame CALMEJANE, Madame JEANNARD et Madame GONZALES ne m’ont jamais observée en présence de mon fils Tamzi-Sâad.
    Madame DAMEME, Madame SILUE, Madame PIETRALA, qui ont déposé des rapports à charge n’ont également jamais été présentes pendant les visites à domicile ni les visites médiatisées.

    Les seuls services présents sont :
    L’AFAD TISF de 2019 à 2022 et Saint André de Cubzac depuis 2023.
    Que les faits dont elle m’accuse depuis 2019 jusqu’à encore aujourd’hui n’avaient que pour seul objet de fonder des griefs à l’encontre de mes capacités éducatives aux fins d’obtenir le maintien de placement de mon fils.
    Le délit de dénonciation calomnieuse me paraît constitué.

    De surcroît, les personnes précitées ont été mandatées par leur hiérarchie dans le cadre d’une mission de service public. Et c’est dans l’exercice de leur mission qu’elles ont réalisé les rapports sociaux m’incriminant pour maintenir les renouvellements de placement et pour contenir des dénonciations qu’elles savent infondée, lesquelles ont été produites auprès des juges des enfants:

    Le crime de faux en écritures publiques me paraît donc constitué.

    Les dénonciations calomnieuses des inspectrices telles qu’insérées dans plusieurs rapports sociaux ont orienté les décisions des juges des enfants : le délit d’escroquerie au jugement est donc, à mon sens, constitué.

    S’ajoute l’absence de PPE, qui est obligatoire au deuxième mois de placement de l’enfant qui n’a jamais été mis en place.

    Violations de mes droits et illégalités :

    La procédure qui a conduit au placement de mon fils et à ma séparation avec lui est entachée de violations flagrantes de nos droits fondamentaux, ce qui la rend illégale :

    Droit à un procès équitable : toute personne a le droit d’être jugée équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un juge indépendant et impartial (article 6 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme). Ma capacité à défendre mes droits et à garantir le bien-être de mon fils a été entravée de manière significative tout au long de cette procédure.

    Droit d’accès à un tribunal impartial (article 6 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme) : mon droit à un procès équitable a été gravement compromis et l’impartialité du tribunal a été remise en question à maintes reprises.

    Droit à la vie privée et familiale : toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance ». (Art. 8, § 1er de la Convention européenne de sauvegarde des droits et libertés fondamentales) Tous les éléments précités démontrent que ce placement n’a jamais eu pour l’objectif l’intérêt de mon fils Tamzi-Sâad et de notre famille

    Liste des personnes concernées par cette affaire :

    Cette affaire implique un certain nombre de parties prenantes dont les actions ont eu un impact sur notre vie privée et familiale. Les personnes suivantes sont concernées par cette situation :

    Madame Sandra Lux Barel, juge des enfants de Libourne ( Saisie en même temp que Mme Jarnevic, juge des enfants de Bordeaux)

    • Madame Anne-Sophie JARNEVIC, juge des enfants près le Tribunal de Bordeaux
    • Monsieur Yohan DESQUAIRES, juge des enfants près le Tribunal de Libourne.
    Madame Bosquet Stéphanie, juge des enfants près le Tribunal de Libourne ( juge Incompétent au vue de ma domiciliation)
    Monsieur Martinen, juge des Enfants près le tribunal de Libourne ( à rendu une ordonnance de suspension de visite, sans connaître l’affaire en reprenant un jugement redacté par un tribunal incompétent).

    • Monsieur Jean-Luc Gleyze Présidente du conseil général du Département de La Gironde.

    • Madame Marie Pierre Damême et Madame Philomène Silué
    Assistante sociale non répertoriée sur la liste Adeli.
    • Monsieur Bonnan Expert Psychiatre .
    • Madame RENAUD, responsable de la Maison Départementale de la Solidarité et de l’Insertion de Bordeaux.
    • Madame Johanna LASCAUX, inspectrice à l’Aide Sociale à l’Enfance du département de la Gironde et désormais responsable territoriale de l’Aide Sociale à l’Enfance.

    • Madame CALMEJANE, inspectrice au département de la Gironde
    • Madame JEANNARD, inspectrice au département de la Gironde
    • Madame GONZALES, inspectrice au département de la Gironde
    • Madame Stéphanie PIETRALA, Chef de service.
    • Madame Marie-Pierre DAMEME, référente sociale
    • Madame Philomène SILUE, référente sociale
    • Madame Sandra BEUCHER, Éducatrice
    • Madame Julie MALARD, Psychologue
    • Madame Vanina TISSOT, cadre à Saint-André-de-Cubzac

    Conclusion :

    Compte tenu de tous les éléments qui démontrent clairement une volonté évidente de nous priver de notre vie privée et familiale, je vous informe par la présente que je ne participerai plus à cette mascarade de justice.

    Je vous demande instamment de me remettre sans délai et sans aucune autre mesure mon fils, Tamzi-Saad EL-GHALBZOURI, qui a été illégalement enlevé par les services de l’État français depuis le 24 mai 2019 à Bordeaux et qui ne bénéficie actuellement pas plus de travail éducatif que s’il vivait avec moi. L’ASE m’a d’ailleurs fait part d’un retard intellectuel alors qu’il vit dans une famille d’accueil.

    Face à cette situation préoccupante, je sollicite donc votre intervention urgente pour enquêter sur ces allégations de placement abusif et de maltraitance psychologique, ainsi que pour garantir le respect de nos droits et le bien-être de mon enfant. Notre séparation a un impact profond sur lui, et je crains que cela ait des conséquences à long terme sur sa vie.

    Outre l’impact de mon absence dans la vie de Tamzi-Saad, il est aussi très difficile pour une mère d’être séparée de son unique enfant. Le revoir une heure de temps en temps ravive brutalement les sentiments et la fin des visites, un arrachement et me rouvre des cicatrices de mon propre placement.

    En grandissant, Tamzi-Saad ne comprendra pas pourquoi il demeure séparé de sa mère et pourquoi il vit temporairement dans des familles d’accueil. L’absence de stabilité à cet âge-là, de repères, d’affection maternelle aura des conséquences sur sa sociabilisation, son éducation, sa vie professionnelle et sa vie sentimentale. Comment pourra-t-il devenir un bon père s’il n’a lui-même jamais eu de parents présents?

    Cette situation peu confortable m’impose la rédaction de la présente soit le 4 Septembre 2023, afin de vous signifier votre mise en demeure de me restituer mon fils avec une main levée. Vous disposez pour cela d’un délai de dix jours à compter de la date de ce courrier, soit jusqu’au 14 Septembre 2023, pour procéder à la restitution de mon fils qui est placé illégalement dans vos services.

    Dans l’attente de votre retour, je vous prie d’agréer, (Madame, Monsieur), l’expression de ma considération distinguée.
    .

    • Céline Jublan says:

      Le jugement a commencé mars 2023 mes enfants étaient suivis avec la PMI je vivais avec le papa le père avait des fragilités psychologique mon fils Mattéo a du retard global et un trouble du langage et rosalyne elle avait des bonnes notes dans la scolarisation mais elle avait du mal à s’exprimer donc aucun danger les enfants étaient très bien suivis orthophoniste psychologue infirmière ma fille a redoublé son CE2 car elle était lente mais il y avait des bonnes notes le médecin de la pmi a décidé placé nos enfants à cause des fragilités de Monsieur et du Logement insolubre que on traitait bien ils m’ont accusé que je délaissé les enfants que on sortait jamais alors que c’est faux ils ont choisi placer nos enfants pendant un an si on trouvait un autre logement les enfants pourront revenir les éducatrices on dit à ma mère on a rien reproché à votre fille c’est a monsieur après le jugement les troubles de Monsieur à empirer je suis allé au commissariat de police pour déposer plainte contre lui je ne pouvais plus retourner à la maison avec nos enfants ma famille m’a hébergé le temps que je trouve un logement plus j’ai réussi à trouver un logement j’ai emménagé en juillet les enfants en septembre aller à l’école faisait une activité extra scolaire à l’école tout se passait bien il avait aussi des suivis médicaux mais ils ont décidé de prendre ma fille quand même en novembre ma fille part en famille d’accueil je n’ai plus de nouvelles de ma fille pendant un mois alors que je me suis toujours bien occupé de ma fille mon fils pleure il réclame sa sœur il dit sœur morte après on a eu des nouvelles au téléphone 3 4 mois après j’avais le droit que ma fille revienne un weekend par mois pour mon fils heureusement ils n’ont rien trouvé pour mon fils l ase à faire un faux rapport sur moi alors qu’il n’y avait rien ils ont raconté que j’étais agressif ce qui est faux je suis contre le placement et ça ne leur plaît pas ensuite ils ont raconté d’autres mensonges sur moi que j’ai des propos adulte devant les enfants alors que c’est eux qui ont parlé du passé devant mes enfants et que c’est pour ça ils ont mis en place un placement a cause des fragilités de Monsieur par contre devant le juge ils ne disent pas ça que y a eu des conflits avec ma fille et que j’aurais dit si tu m’écoutes pas tu iras en famille d’accueil je lui ai dit moindre petit conflit devant les dames ils vont te mettre en famille d’accueil d’urgence car pour eux c’est de la maltraitance quand un parent n’est pas d’accord avec l’enfant avec des mots d’enfants de contes de fées que j’ai expliqué à ma fille que ma fille a une place adulte et depuis qu’elle est en famille d’accueil elle a une place d’enfant alors que c’est faux ils disent ça parce que ma fille a peur de la famille d’accueil donc elle n’ose pas dire les choses et elle a peur demander des feuilles blanches a la famille d’accueil puis ils ont menti en disant j’ai dit à ma fille si elle m’aime et si elle aime son frère en insistant alors que j’ai jamais dit ça et qu’elle me le dit naturellement ils ont dit que ma fille avait un retard scolaire et que depuis elle est en famille d’accueil elle en a plus alors que c’est pas vrai je n’ai jamais eu de retour de ces enseignants qu’elle avait du retard ils ont dit que les enfants veulent voir leur père alors que j’ai jamais entendu de leur part que il voulait voir leur père après je ne suis pas contre et mes enfants n’ont jamais dit ça ils ont dit qu’il me voyait une fois par mois alors que c’est faux ils m’ont vu deux fois avec les enfants ma fille tous les soirs elle pleure car elle est loin de sa famille que je lui manque elle m’a dit que elle ne fait pas de sortie extérieure ni de sortie extrascolaire qu’elle reste toujours enfermée dans la maison elle se lave que le jeudi et le dimanche à la maison elle fait sa toilette matin et soir elle me dit là-bas elle fait pas je lui ai dit oui mais ici il y a des règles donc ma fille m’écoute elle le fait ensuite elle m’a dit elle a fait une grosse bêtise je lui ai dit c’est quoi qu’elle a eu peur de Isabelle elle sait pisser dessus alors que chez moi ou chez ma mère ce n’est jamais arrivé et elle l’a grondé en disant c’est une grosse bêtise alors qu’elle était déjà pas bien je lui ai dit non c’est un accident et que ça peut arriver à n’importe quel âge et quand on est parti au bowling je lui ai dit on y va et c’est là qu’elle m’a dit tu sais avec Isabelle je ne fais pas tout ça je suis en prison je lui ai dit qu’elle peut t’emmener au bowling elle m’a dit non tu ne la connais pas elle ne voudra jamais et dire qu’on n’est pas des banques je lui ai dit oui je la connais pas c’est vrai quand maman elle gronde c’est comme Isabelle elle m’a dit non et quand papa grondait c’était comme Isabelle elle m’a dit oui son père etais tres dur sur des propos c est peut-être le cas là-bas mon avocate m’a dit de ne rien dire juste je m’en occupe bien et que je critique pas la famille d’accueil alors que c’est ma fille qui m’a dit tout ça au jugement mon avocate n’a pas contredit le juge et j’ai l’impression elle était du côté de l’ASE même le père le père des enfants a dit j’hésite entre les deux le placement où le retour chez la mère alors qu’il c’est très bien qu’il y a pas de danger chez moi mais il a mis le doute devant le juge peut-être pour se venger je ne veux pas c’est la guerre entre lui et moi mais après ce qu’il a dit je ne pourrai pas le pardonner si c’était l’inverse j’aurais dit qu’il n’y a pas de danger et qu’il s’en occupe très bien de son côté c’était pas le cas je suis très déçu de sa part j’ai demandé une garde complète car en ce moment il a des problèmes d’argent et j’ai peur qu’il y a rien dans le frigo pour les nourrir même si j’ai encore peur de lui je ne veux pas l’empêcher d’être père la juge a essayé de manipuler en disant pour le bien-être de Rosalyne et qu’elle est épanouie chez sa famille d’accueil alors que c’est pas vrai qu’elle maintient le placement et ce que je suis d’accord du placement pour le bonheur de Rosalyne j’ai dit non et le père a dit qu’il est perdu et que toute façon il voit pas les enfants mais que les enfants ne doit pas être séparé donc il a répondu non mon fils a un placement à mon domicile pendant un an alors qu’il y a pas de danger et que la juge a dit que je devrais voir un psychologue avec ma fille pour les conflits et que ma fille ne me commande pas alors qu’elle me commande pas vu qu’elle mettait en boucle la musique maman me dit l’année dernière la juge a dit s’il y a un nouveau logement propre les enfants pourront revenir au domicile elle a menti mon avocate m’a expliqué c’est à cause du retard de mes enfants alors que je suis pour rien elle m’a expliqué je lui ai dit moi aussi j’avais du retard quand j’étais petite et on m’a pas placé pour autant elle m’a dit oui mais à cause des fragilités de Monsieur et de vos problèmes de couple ils ont décidé de renouveler alors que ça fait bientôt un an que je le vois plus et toute façon on a pas le droit de se voir pendant 3 ans peut-être ça empirer les choses et mon avocate veux je vois les éducatrices seule sans qu’il y a quelqu’un je ne vais sûrement pas l’écouter vu les mensonges qui disent sur moi et dire les choses que ma fille dit ne pas répéter car c’est pas vrai elle dit ça pour revenir à la maison et ne pas être contre la famille d’accueil et l ase que c’est pour le bien de ma fille alors que c’est faux ne jamais être seul devant les éducatrices car ils font un faux rapport pour avoir leur prime 75000 € par enfant placé et je pense il y a eu une magouille au jugement pour être bien défendu il faut payer un avocat mettre de l’argent de côté c’est ce que je vais faire en changeant d’avocat la seule chose que je voulais c’est que ma fille revienne et c’est pas grave s’il y a des aides à la maison malheureusement c’était pas le cas avec la juge mon avocate la famille d’accueil l’Ase et le père de mes enfants à mon avis c’est pour l’argent car il gagne plus quand les enfants sont placés tout mon entourage dis la même chose car ils auraient pu mettre des aides pour ma fille à la maison monsieur a été aussi placé et il en a souffert donc je ne comprends pas pourquoi il a dit qu’ils étaient perdu entre le placement et le retour à la maison mon avocate s’appelle madame gravis ne jamais travailler avec elle elle se met du côté du placement l’éducatrice qui a raconté des mensonges madame Renaud et sa complice madame Boissinot le nom de la juge qui écoute toujours le faux rapport de l’ASE le nom de la juge madame boscher et le médecin PMI Cécile Morelle -orhan je dis tous ces informations pour prévenir les personnes qui ont travaillé avec eu il faut s’en méfier protéger nos enfants du kidnapping légal de l’ASE ma fille va continuer à pleurer tous les soirs pendant un an et mon fils va encore pleurer de l’abandon de sa sœur tous les jours il réclame sa sœur de plus ma fille m’avait fait un courrier je pense que mon avocate n’a pas donné à la juge et qu’elle défend la famille d’accueil et aussi ma fille m’a dit à l’école des copines on dessinait un sexe d’un garçon ma fille m’a fait ce dessin chez moi alors qu’avant elle n’a jamais fait ça elle m’a dit l’ancienne école à Jules Ferry il n’y avait pas des enfants comme ça puis un garçon qui s’appelle Malcolm à montrer ses fesses à ma fille en disant fous-moi une fessée ma fille elle et part en disant ça va pas la tête et qu’elle me dit elle veut revenir à l’école Jules Ferry retrouver ses copains et copines voila mon histoire

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