UNE ENQUETE REVELE LES RESEAUX PÉDOPHILES AU SEIN DE L’ÉGLISE EN AUSTRALIE : QUID DE LA FRANCE ?

L’ENFANCE AU COEUR a trouvé très loin ce que nous avons tout près, et le publie pour montrer le caractère universel du fléau ainsi que le caractère universel de ce qui le nourrit.
Voilà un article qui a trait à la pédocriminalité dans l’Eglise en Australie principalement dans les années 70-80 – mais qui précise sa persistance jusque dans les années 2010 (et ajoutons : encore de nos jours bien entendu !).
Une des causes de ce fléau, la première étant bien sûr le vice, est l’idéologie libertaire qui régnait dans ces années là. En effet un responsable de séminaire évoque « les standards inadéquats d’hier » ce qui veut dire en clair qu’à l’époque la consommation sexuelle d’enfants était sans doute « dans le vent ».
Et c’est exact ! Et pas seulement en Australie ! Nous avons la même chose chez nous. C’est ainsi que dans ces années libertaires, on peut rappeler que certains partis politiques écologistes en particulier, en Europe et en France, voulaient légaliser la pédophilie en abaissant drastiquement l’âge de la majorité sexuelle. C’était l’époque honteuse où Daniel Cohn Bendit parlaient des petites filles qui baissent la braguette des hommes ce qui serait « délicieux »… C’est l’époque du scandale de « l’école en bateau » où un gourou/professeur/pédophile avait emmené des enfants cabossés par la vie sur un bateau, soi-disant pour les instruire, en réalité pour les violer et les débaucher, en compagnie de ses coéquipiers.
Ceux qui savaient ou soupçonnaient se sont tus, ceux qui ont vu des conduites à risque de ces enfants n’ont fait apparemment aucunement le rapport avec cet enseignement criminel qu’ils subissaient. C’est ainsi que le Dc Salmona s’exprime sur cette affaire « – La loi du silence et le déni d’une société qui a laissé de 1969 à 2002 des enfants subir des crimes en toute impunité, sans que personne ne s’en rende compte, n’intervienne pour que cela cesse, ni ne fasse de liens entre leur souffrance, leurs idées suicidaires, leur estime de soi détruite, et des violences qu’ils auraient pu subir, et qui les a laissé survivre seul-e-s. »
Le déni de la société visé par le Dc SALMONA est encore actuel, mais insistons pour dire que l’idéologie des années 70 sur l’enfant partenaire sexuel, consentant, animé de désirs sexuels selon la théorie freudienne, a sévi cruellement et a fait des émules, puisque jusqu’à l’autre bout de la terre, et ici en Australie, on peut entendre dire que les « standards de l’époque » indirectement le favorisaient. Il faut répéter que l’amoralisation d’une société par la banalisation du porno, une hypersexualisation de l’enfant constante, la théorie du consentement de l’enfant à un acte sexuel (encore actuelle !) est responsable en partie des infractions sexuelles toujours plus nombreuses subies par les enfants.
Rappelons que le magazine Vogue en France présentaient des fillettes fardées dans des poses lascives, et pendant des années cette « iconisation » de l’enfant partenaire sexuel dans une esthétique débauchée a eu la faveur des magazines de mode !
Rappelons les concours de « miss » d’enfants grimées en femmes, et même des catalogues de vente par correspondance présentant des maillots de bains par des enfants déguisés en femmes … Ces exemples pour dire que l’orientation pédophile existe, elle ne date pas d’hier mais a fleuri dans les années 70 de façon très décomplexée. On pourrait même dire que cette orientation des esprits pour banaliser la pédophilie favorisait le commerce. Or elle ne peut que contribuer au fléau de la pédocriminalité, dont l’ampleur actuelle a été favorisée par cette idéologie. La tolérance pour cette orientation des esprits est manifeste en France : Gabriel MATZNEFF n’a t’il pas eu le prestigieux prix Renaudot Essai pour couronner son oeuvre et concrètement pour son livre « les moins de 16 ans » dans lequel il raconte ses orgies avec des mineurs ?
A t-on pu lire un seul article pour protester contre ces honneurs faits à un pédophile assumé ?
L’ancien ministre Frédéric Mitterand n’a t-il pas pu lui aussi raconter sa vie de pédocriminel et de touriste sexuel dans le chapitre 11 de son roman « La Mauvaise vie » ?
Il y a donc, et c’est indéniable, une complaisance coupable pour la pédophilie, notons d’ailleurs que l’apologie de la pédophilie que ces livres font, parmi d’autres manifestations artistiques, n’est pas réprimée en Droit français.
Il faut donc subir ce genre de manifestation « artistique » ( en réalité une apologie du sexe avec un enfant) en trouvant tout cela normal ! Et les pédocriminels, en embuscade, voient très bien cette normalisation, cette banalisation de leur vice gagner la société, et ils voient aussi les sanctions pénales si douces et légères pour ceux d’entre eux qui se font pincer …
Cependant l’enfant victime a son destin brisé, et l’art et le commerce, ainsi que la justice, qui contribuent à ce que ce fléau existe encore, portent une énorme responsabilité. Qu’on ne s’y trompe pas : les « standards » ont peut-être un peu changé depuis les années 70, et la liste de célébrités qui avaient signé un manifeste pour que soient libérés des pédophiles (pas de prison pour un baiser, comme ils disaient …) n’oseraient peut-être plus le faire aujourd’hui, après le Me Too.
Les pédocriminels sont donc peut-être un peu plus en embuscade, mais toujours aussi présents, même s’ils ont moins de porte-parole (Matzneff et Mitterand ont vieilli, Cohn Bendit ne rajeunit pas, il n’y pas encore de relève assurée !)
La vigilance est de mise, et surtout le combat contre la pédocriminalité et pour le respect de l’innocence des enfants est une priorité morale dans le pays des droits de l’homme, surtout en cette veille de la journée mondiale des enfants. L’ENFANCE AU COEUR est … au coeur de ce combat.

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