LE CHEF DE LA DGSI EN DÉTENTION POUR VIOL ET DETENTION D’IMAGES DE VIOLS D’ENFANTS : LE VICE ET LE POUVOIR

La chasse perverse que tout pédocriminel organise et vit, est facilitée par le pouvoir que peut détenir le « chasseur » et c’est ainsi qu’abusant de son autorité ou de ses fonctions, celui-ci fait un nombre très important de victimes, particulièrement muettes du fait de la situation d’emprise renforcée par la situation d’autorité de leur agresseur.

La présente affaire illustre une fois encore ces cas d’abus de pouvoir, le chef de la DGSI des Ardennes va manipuler des adolescentes, consulter des sites de pédopornographie et bénéficier de fait de plus d’une décennie de totale impunité. L’enfance au coeur fait souvent le lien qui s’impose entre pouvoir et vice.

Cette affaire le démontre encore, s’il en était besoin. L’attirance sexuelle d’un majeur pour les mineurs est un vice, un vice redoutable, une perversion terrible qui met en danger non seulement le mineur convoité, mais des dizaines voire des centaines de mineurs tant ce vice est compulsif.
Il en résulte un principe qu’il ne faut pas oublier. Les professions caractérisées par un pouvoir ou une autorité sont sur-représentées dans les faits divers de pédocriminalité, de même que les professions en contact avec les mineurs.

Ces abus de pouvoir sont d’ailleurs pris en compte par le code pénal qui aggrave les sanctions quand l’auteur des faits a « abusé de son autorité ». Pour les parents, pour les victimes potentielles, le comportement de ces professionnels doit être scruté et la méfiance est de mise.
Et ce d’autant plus que la justice qui a pourtant sous la main une circonstance aggravante, la laissera dormir dans le code pénal et ne punira que bien légèrement ces criminels. Dès lors c’est bien la vigilance, la prudence, vertus cardinales, qui doivent être en alerte constante.

Il est indispensable de caractériser le profil de l’agresseur pour pouvoir lui échapper, et les milliers de victimes mineures se trouvent le plus souvent dans une des trois situations suivantes : victimes d’inceste, victimes d’un pédocriminel travaillant avec des mineurs ou victimes d’une personne détenant un pouvoir de par ses fonctions.

L’ENFANCE AU COEUR appelle à une vigilance accrue tous les parents et tous les citoyens, pour éviter des drames que la justice, quand elle en a connaissance, ne fera le plus souvent que sous estimer par une sanction pénale minime ou pas de sanction du tout.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/chef-dgsi-ardennes-place-detention-provisoire-viol-detention-images-pedopornographiques-1691020.html?fbclid=IwAR3dDd5oNeWRoalYB2dFukTSQIhxT_IzrgGT6vQ3P_P2C_EMoct79mViMAQ

Un commentaire sur “LE CHEF DE LA DGSI EN DÉTENTION POUR VIOL ET DETENTION D’IMAGES DE VIOLS D’ENFANTS : LE VICE ET LE POUVOIR

  1. DuQUENNE says:

    Puisse ce pouvoir politique français tomber par où il pêche : la pédocriminalité officiellement couverte et protégée.
    La France des « sales élites » corrompues dénature tout ce qu’elle touche.
    HONTE A CES ASSASSINS ! et que justice soit faite ……….

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