EXISTE T-IL UNE ECHELLE DE L’HORREUR QUE L’ON PEUT COMMETTRE SUR DES ENFANTS ?

Existe t-il une échelle des horreurs que l’on peut commettre sur des enfants ?
La question se pose chaque fois, même si en soi elle est terrible. En effet, tout ce qui fait souffrir des enfants peut-il être quantifié ? Pourtant dans l’échelle pénale et la répression judiciaire et morale qui doit s’ensuivre, une place particulièrement haute doit être donnée à l’abjection consistant en la confection de films de viols de mineurs, que des « clients » monstrueux commandent et se font livrer, à des « producteurs » tout aussi monstrueux qui se livrent à ce commerce de plus en plus rentable.
En France la police veut lutter, ainsi que cet article de presse nous l’explique, pourtant la police a affaire à une difficulté d’envergure, que l’ENFANCE AU COEUR ne cesse de pointer du doigt :  à savoir le laxisme judiciaire à la française, une véritable marque déposée.
En effet non seulement la police doit localiser les pédocriminels et ne le peut pas toujours quand il n’y a pas d’accord de collaboration avec le pays où ces horreurs se font, mais encore le monstre dûment attrapé ne va le plus souvent qu’écoper d’une peine légère pour détention de pédopornographie – alors même qu’il est tout simplement complice de viol et qu’il nourrit un trafic de viols d’enfants.
Le Parquet est conscient de cette difficulté, peut-on lire dans l’article, mais ce n’est pas le Parquet qui siège. Les magistrats qui jugent sont frileux, méconnaissent et sous-estiment le phénomène (qui prend pourtant une ampleur inquiétante) et finalement ils mettent à mal une répression qui devrait être de toute première ampleur.
Quand L’ENFANCE AU COEUR indique, encore et toujours, que le laxisme judiciaire est la première cause de l’expansion de la pédocriminalité au sens large, elle enfonce une porte ouverte et les justiciables, le commun des mortels, les parents, tous les observateurs ne peuvent qu’être d’accord avec elle tant les faits de société nous contant des actes de violence contre les mineurs nous racontent aussi la clémence imbécile et ridicule des juges.
Volez un litre de jus d’orange et un camembert, vous partirez en correctionnelle et il n’est pas du tout exclu que vous ayez une peine « dissuasive ». Mais à celui qui viole un mineur par procuration, c’est à dire en visionnant un film qu’il a commandé, ne sera reproché que de la détention de pédopornographie et il ne lui sera pas même appliqué le maximum de la peine !! Comment comprendre un tel laxisme, un tel aveuglement ?
Les complotistes diront que la pédophilie d’élite pourrait inclure des magistrats … et que telle serait la raison des aberrantes condamnations trop douces des divers crimes et délits contre les enfants. L’ENFANCE AU COEUR n’est pas de cet avis.
L’ENFANCE AU COEUR pointe l’incompétence, le manque de vision d’une justice débordée et droitdel’hommiste, d’une Justice rousseauiste, naïve et idéologique, qui veut davantage de bien au criminel qu’à la victime, selon une tradition française qui va faire de notre pays la patrie du Mal fait à l’enfant.
Face à ce constat, L’ENFANCE AU COEUR invite tous les mécontents d’une telle « justice » à protester par tous les moyens (légaux) possibles contre cette clémence judiciaire qui nourrit le crime, les réseaux sociaux faisant partie de cette insubordination démocratique pour le Bien de l’enfant.

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