L’ENFANCE AU CŒUR constate qu’une fois encore, après un drame de cette ampleur, c’est du bout des lèvres que le « système » est rendu responsable, cet article et ceux qui l’interrogent ont mieux à faire, et ce mieux à faire c’est rendre les parents responsables !
Or quand on lit cet article, et que, comme à L’ENFANCE AU CŒUR, on connaît la toute puissance des services sociaux, et leur influence sur les décisions des juges des enfants, on sait pertinemment que même un placement qui n’a aucune raison d’être va se poursuivre indéfiniment si par malheur les parents déplaisent aux services sociaux.
Les raisons d’un placement peuvent parfois être valables,
Quand un enfant est réellement maltraité, il faut bien-sûr le protéger. Mais dans la moitié des cas, un placement en Foyer n’a aucune raison d’être, et priver un enfant de ses parents est criminel, le résultat peut être un drame, comme dans cette affaire. Kimberley, non entendue, supposée ravie de son placement en Foyer alors qu’elle y dépérit et voit à peine ses parents, un jour se suicide, ayant compris qu’elle ne retrouverait jamais ni liberté ni famille.
L’institution de la protection de l’enfance a dérapé une fois de plus.
Toute à son business, à sa toute puissance, à sa surdité à la parole de l’enfant, à son mépris des parents qu’elle domine et fait marcher au pas faute de quoi elle les sanctionne, la protection de l’enfance a tué un enfant !
L’ENFANCE AU CŒUR lutte de toutes ses forces contre les placements abusifs, qui aboutissent souvent à des dépressions, à des familles défaites par le chagrin, à des trajectoires d’enfants brisés parce que les services sociaux ont mis leur nez dans une famille sous un prétexte souvent futile ou instrumentalisé par leur désir de faire fructifier un business lucratif. VOILA LA VÉRITÉ
Il y a des enfants maltraités que l’on ne place jamais, des Fiona, des Inaya, des Marina, dont les parents font peur aux services sociaux qui ne s’y frottent pas, et il y a des enfants qui perdent leur temps et leur moral dans les Foyers parce que les services sociaux ont fait des IP ou des signalements abusifs pour pointer du doigt un conflit conjugal ou une mère trop aimante !
Ce fléau qui bafoue la liberté fondamentale d’élever son enfant en famille est combattu de pied ferme par L’ENFANCE AU CŒUR qui le dénonce et conseille les familles.
Il faut que ce fléau soit connu, car le public croit trop souvent que la protection de l’enfance ne fait que protéger l’enfant, et le fait forcément très bien. Or c’est faux.
Au caractère abusif de son intervention (business et idéologie, toute puissance) s’ajoute un juge influençable et peureux, et s’ajoutent des Foyers où souvent des violences et des défauts de soins existent. Qui n’a pas été choqué en regardant le documentaire ZONE INTERDITE ? Mais à part la nomination d’Adrien Taquet qui trouve que tout va plutôt bien, qu’est-ce qui a été fait ? Presque rien. Il faut le faire savoir, il faut lutter.
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