Très souvent, des comportements particuliers d’enfants souffrant d’ autisme, de TDAH ou d’autres maladies du développement neurologique, ou cognitif, ont été mis sur le compte de l’éducation donnée par les parents, et de très nombreux parents ont vu leurs enfants placés pour cette raison : leurs prétendues défaillances parentales.
Cela a entraîné des drames absolus. Les associations se sont mobilisées pour protester contre cette dramatique absurdité, qui fait partie du fléau plus général des placements abusifs
Une petite avancée est obtenue depuis le mois de mars, à savoir la création d’un annuaire de professionnels de santé, des médecins spécialisés dans le diagnostic de ces troubles, cet annuaire est à la disposition des juges et des CRIP, cellules de recueil des informations préoccupantes. Tout parent concerné doit en être informé et le cas échéant, s’il constate que cet annuaire n’est pas exploité, qu’aucune expertise n’est faite, et que la situation de l’enfant est mise sur son compte – il doit solliciter l’expertise et invoquer cette petite avancée. Les retours que nous avons sont modestes (quantitativement) mais il ne saurait être question de passer à côté d’une amélioration, alors que sans cette petite réforme des parents se sont trouvés privés de leurs enfants et même traînés devant des tribunaux correctionnels !
Précisons que cette petite avancée s’inscrit dans le « plan autisme » du gouvernement, Sophie Cluzel (secrétaire d’Etat) étant à l’initiative.
Sauf qu’il y a des déserts médicaux et que c’est justement dans ces déserts que les Conseils Départementaux font le plus de dégâts (Creuse, Nièvre, Orne …)
Dans l’Orne et à Flers en particulier, les parents qui cherchent à faire diagnostiquer un enfant, se retrouve dans un centre géré par une ex Association (alors qu’ils y sont envoyés par des professionnels et pensent aller dans un CRA ) qui s’est unie à une autre Association gérant des foyers et des lieux de vie pour personnes handicapées . L’un fait le diagnostic et l’orientation vers l’autre qui fait ainsi le plein … il ne sera jamais question d’école inclusive ou d’autres solutions qui priveraient ce business social de « clients ». Quand les parents refusent la prise en charge en institution de leur enfant, ils sont aussitôt menacés d’une judiciarisation de l’affaire et envoi d’une Information Préoccupante
Bonjour,
Maman de 3 enfants tdah, j’ai une mip, l’éducatrice souhaite actuellement une mesure educative surtout aemo renforcée.
Elle estimes mes enfants en danger psychologique.
Celon elle il nont pas un assez bon rythme de vie et leur problème liée au trouble ne serais du que a une mauvaise éducation de ma part.
Ca fais 4 ans qu’il me suivent et j’y voit beaucoup d’acharnement dans une famille ou il y a nulle violence.
Si vous disposé de conseils, d’une manière possibles de se défendre s’il vous plaît ?
Car on le sait bien dans 6 Moi yora une proposition de placement car els enfants on du mal a gérer leur émotions io prendrons des difficultés de leur trouble pour m’accusez.
Comment ce défendre face a ces fausses assusation s’il vous plaît ?
Je vous remercie.
Bien cordialement.