L’ENFANCE AU COEUR constate que la détention de fichiers pédopornographiques est preque systématiquement associée aux agressions sexuelles pédocriminelles.
Dans le cas de ce politique de bas étage, suppléant LREM, c’est encore le cas, il a beau essayé de nier les agressions sexuelles sur les 2 fillettes dont l’expertise prouve le traumatisme, sa « carte d’identité » sexuelle de prédateur se trouve dans la détention de ces fichiers. Il est donc un fait que ces délits et vont de pair, et il est donc très difficile de comprendre pourquoi des peines exemplaires ne sont pas données. ( Hélas la détention de fichiers pédopornographiques est un délit et non pas un crime ! )
Le doute sur les gestes sexuels ne peut plus jouer en faveur du prévenu, puisqu’ils sont d’une certaine manière corroborés par la détention des fichiers.
De même, la détention de fichiers fait largement supposer qu’il existe des passages à l’acte.
Ce lien fort inquiétant doit inciter à réprimer le délit de détention de fichiers pédoporno, d’une part parce qu’en soi il est grave – rappelons que les enfants victimes sont de « vrais » enfants et que la complicité d’agressions sexuelles serait plus appropriée juridiquement – mais aussi parce qu’une condamnation sévère démontre qu’il s’agit d’une réelle pédocriminalité – non pas d’un simple vice plus ou moins anecdotique – contrairement à ce que les juges semblent penser.
Le laxisme judiciaire procède d’une absence de compréhension de la gravité pénale des faits. Dans la présente affaire, c’est bien la « jonction » des deux délits qui permet la condamnation. Et comme le laxisme judiciaire prévaut aussi pour les agressions sexuelles il écope d’un an ferme et 2 ans de sursis.
En France, contrairement aux USA, les peines ne s’additionnent pas.
C’est d’ailleurs bien dommage en la matière !