Affaire Bétharram combat pour les victimes

Affaire Bétharram : l’Église et l’État face à leur lâcheté !

Pendant des décennies, des enfants ont été brisés par ceux qui devaient les protéger. L’affaire Bétharram n’est pas une simple histoire d’abus isolés : c’est le révélateur d’un système criminel, où le silence des uns a permis les horreurs des autres.

Où étaient les autorités ? Où était l’Église ?


Les plaintes, les témoignages, les souffrances étaient là. Pourtant, rien n’a été fait. Les prédateurs ont continué, protégés par l’inaction et la complaisance. Qui osera encore parler de « cas isolé » ?

François Bayrou, ancien élève de Bétharram, dit n’avoir rien su. Vraiment ?

D’autres disent le contraire. Plusieurs témoignages affirment que l’affaire était connue de nombreux anciens élèves et enseignants. Si tant de personnes en avaient connaissance, comment imaginer que François Bayrou, figure politique de premier plan et proche de l’institution, ait pu l’ignorer ?

Aujourd’hui, il promet des moyens pour la justice. Mais où étaient ces moyens quand les victimes dénonçaient, dans l’indifférence générale ?

Chaque silence, chaque complaisance, chaque « je ne savais pas » est un acte de complicité qui fait de nouvelles victimes. complices !

Les révélations de l’affaire Bétharram rappellent une triste réalité : trop souvent, les victimes sont abandonnées, réduites au silence, tandis que les coupables et leurs complices continuent d’être protégés.

LEAC refuse cette fatalité.

Il est temps de briser l’omerta, de mettre fin à l’impunité et de construire un système où plus jamais de telles atrocités ne pourront se reproduire.

L’ENFANCE AU COEUR continuera à se  battre, pour les victimes d’hier et pour protéger les enfants d’aujourd’hui et de demain

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *