audition de Maitre CERRADA sur les placements abusifs

Lors de l’audition de LEAC à l’Assemblée nationale, Me CERRADA  a été entendue sur les placements abusifs et dénoncé des dérives majeures :

Le critère de « danger » est trop flou et doit être remplacé par « maltraitance avérée » pour éviter les interprétations arbitraires.

Le système est embolisé, avec trop d’enfants placés, parfois sans nécessité, créant une surcharge qui nuit aux véritables urgences.

La violence au sein de l’ASE est une réalité alarmante, avec des cas de maltraitance, et même des réseaux de prostitution.

Un placement injustifié disqualifie les parents  et brisent une famille : un enfant qui voit que ses parents n’ont pas pu le protéger d’un placement perd confiance en eux.

En France, la situation est encore plus grave : aucun recours efficace contre les décisions des services sociaux

Le Conseil de l’Europe a alerté sur les pratiques abusives en matière de placement d’enfants.

 Découvrez  son intervention et partagez pour faire entendre cette réalité.

3 Commentaires sur “audition de Maitre CERRADA sur les placements abusifs

  1. Lelievre says:

    Bonjour
    En conflit avec l’ASE du Havre qui persécute et abuse de son pouvoir sur ma fille et ma petite fille
    Ci après mon témoignage qui vient d’être soumît au comissariat du Havre
    Qui ont convoqué ma fille et ma petite fille de deux ans parce que l’ASE a fait un faux témoignage en disant que ma fille avait disparue du Havre avec son Monsieur,
    Je soussignée Mme Lelièvre Christelle demeurant au 5 Rue de la Bridelle 70500 Noroy les Jussey
    Tél : 0751848033
    Je viens par ce courrier vous relater des faits et des abus depuis des années de la part de l’ASE
    Ma fille Sirin Perrier a été victime de violences conjugales lorsqu’elle était enceinte,L’ASE fut alerté suite au fait que ma fille ait porté plainte contre son ex concubin
    L’ASE et les services sociaux ont commencés leurs abus lorsque Sirin a accouchée ( 4 jours de complications et bb parti en urgence à Marseille en ma présence )
    3 personnes des services sociaux sont venus le lendemain de son accouchement et ont pénétrés la chambre de la clinique de ma fille pour lui dire que l’on allait prendre sa fille sans raison et qu’il n’était pas normal que sa mère soit à Marseille avec le Bb.
    Imaginez ce qu’une mère peut ressentir après avoir eu un accouchement des plus compliqué et pas encore pu prendre son enfant dans ses bras lorsque 3 As et dames de pmi viennent lui tenir ce discours aberrant !
    Même la clinique a avouée connaître le fonctionnement anormal et abusif de ces services lorsqu’ils ont retrouvés ma fille en pleurs
    J’ai bien entendu eu une altercation avec ces services à mon retour de l’hopital de Marseille avec la petite qui allait mieux .
    Elles n’ont pas appréciés et ont de nouveau fait un signalement sans raison
    Depuis ma fille a emménagé chez ses grands parents au Havre et avait une visite d’une jeune fille du service PMI une fois par semaine
    Elle était sensée aider Sirin dans son administratif et aussi dans la recherche d’un logement( les grands parents ont hébergé Sirin pendant plus d’un an mais devaient déménager en Fin janvier 2025 )et rien n’a jamais été fait,hormis faire faire du coloriage à ma petite fille à 9 h du matin,chose que ma fille et les grands parents sont plus que largement capables de faire
    Sirin ne voulait même plus communiquer avec cette jeune fille de la PMI tant cela ne servait à rien !
    J’ai moi même contacté cette demoiselle pour lui indiquer que je comptais prendre ma petite fille en vacances en Décembre et qu’il ne pourrait y avoir de rdv pour cette raison dans cette période et que pour le peut qu’elle faisait,je ne pensais pas que cela poserais problème
    Cette jeune femme m’a répondu par whatsapp très froidement et très désagréablement qu’il fallait que ce soit ma fille qui prévienne (Un message de 4 lignes avec une faute d’orthographe à presque chaque mot )
    J’ai demandé à être mise en contact avec sa responsable ne comprenant pas pourquoi Sirin était encore dans l’obligation de l’ASE puisque aucun souci avec la petite,ni pour l’hébergement chez les grands parents et encore moins de danger avec son ex puisque reconduit en Égypte après la plainte de Sirin
    Elle m’a répondu que sa responsable refusait de communiquer avec moi !
    Depuis,les grands parents sont partis et Sirin a trouvé un appartement grâce au Maire qu’elle avait contacté par mails à 3 reprises et aussi c’était déplacé voir les élus qui lui ont fait obtenir un grand appartement sur Harfleur
    L’ASE n’a jamais une fait pour l’aider sur quoique ce soit mais ce sont permis une fois encore de lui mettre la pression alors qu’elle était dans l’attente de la remise de clés de son appartement pour qu’elle vienne à un rdv chose à laquelle ma fille a répondu qu’elle n’avait pas le temps pour le moment puisqu’elle préparait son déménagement seule avec sa petite fille de deux ans .
    Ils ont fini par la harceler par téléphone jusqu’à obtenir une date de rdv ou ma fille n’a pu aller puisque effectivement en plein déménagement et de ce fait ont encore fait un signalement qui amène Sirin demain matin 10h à devoir se rendre au commissariat avec sa petite fille de deux ans !
    Mais où va t’on avec ces services sociaux qui loin d’aider et de protéger,mettent la pression aux parents,font des signalements abusifs et se permettent de créer des situations de stress pour mère et enfant qui auraient pu être évité ?!
    Plusieurs associations comme l’enfance au cœur et l’avocate Christine Cerrada sur Paris parlent de ces abus de L’ASE et de destruction de famille a cause de ces services,que faut il faire?
    Que je porte plainte pour que cela cesse ?
    Ma fille et ma petite fille ont une vie normale et tentent de vivre paisiblement et se retrouvent harcelées par ces services sociaux qui abusent de leurs pouvoirs
    Sirin est très bien entourée
    Elle a un père,une mère et aussi des grands parents et n’ait plus en situation de danger puisque son ex concubin après avoir fait de la prison a été renvoyé au pays !
    Ces services sociaux ne servent à rien si ce n’est empêcher de vivre et compliquer des situations qui ne le sont pas .
    Monsieur,je vous pries de bien vouloir prendre en considération la lettre d’une mère en colère et qui ne laissera ni son enfant ni son petit enfant se faire abuser !
    Pour faire valoir à qui de droit
    Jeudi 13 Février 2025
    Mme Lelièvre

    • Duchemole says:

      Je suis en symbiose avec le témoignage de Mme Lelièvre.
      J’ai accouché en octobre dernier et au sortir de l’hôpital un signalement est établi à mon encontre. Ce signalement est le fruit d’une maturation depuis le mois de mars dernier, alors que j’étais enceinte. Dès la première consultation, le personnel soignant m’a cataloguée comme cas social, parce que j’allais percevoir le RSA. Je savais que j’allais avoir un faible revenu pendant quelques mois, mais je préférais m’occuper de ma grossesse puis de ma fille à plein temps plutôt que de faire des pieds et des mains pour trouver un travail. Par ailleurs, quel employeur embaucherait une femme qui trois mois plus tard allait entrer en congé maternité ?
      Bref, j’ai fait une dépression pendant la grossesse, car très difficile, et post-partum. Pour me faire aller mieux, le personnel soignant a envoyé un signalement à mon encontre sur la base d’ignominies (10 pages de mensonges et d’horreurs à mon sujet et au sujet de ma famille). L’objectif était de me retirer ma fille sans que ma famille ne puisse se prévaloir de la loi Taquet. Le problème vient d’un décret de 2016 qui permet aux services sociaux de commanditer des évaluations peu importe la véracité des informations recueillies. J’ai suggéré à l’association l’Enfance au coeur d’attaquer ce décret qui est la source de bien trop nombreux abus. En droit privé, si votre voisin publie à l’oral ou à l’écrit que vous êtes une grosse truie, vous pouvez porter plainte et l’attaquer devant la juridiction pénale pour diffamation. Cela n’est pas possible contre l’ASE, car ce décret de 2016 les protège.
      Pour en revenir à mon histoire, j’ai une audience devant le juge des enfants, sans avoir été entendue dans le cadre de l’évaluation, ce qui est contraire à la procédure indiquée dans le décret de 2016. Heureusement, étant juriste de formation, je suis allée consulter mon dossier. Petite précision : dans toutes les procédures judiciaires et administratives, les parties au procès ont le droit d’obtenir une copie des dossiers avec les preuves, etc., sans ministère d’avaocat ; or, devant le juge des enfants, on ne peut consulter le dossier que sur place et pendant une heure seulement. Ce serait bien que l’association l’Enfance au coeur et d’autres associations demandent que s’applique les mêmes règles de procédure devant le juge des enfants, à savoir l’obtention d’une copie du dossier.
      De plus, l’ASE se permet même d’obtenir des informations de la part de France Travail qui, comme par hasard, affirme n’avoir rien transmis à l’ASE. Pourtant, l’établissement est mentionné dans le dossier du juge avec les informations enfonçant encore plus la personne. Donc, l’ASE peut également appeler votre employeur, vos collègues de travail et porter du discrédit à votre sujet, impunément. L’Association devrait également encourager l’adoption d’une loi pénale interdisant à l’ASE de s’intéresser à la vie professionnelle des personnes. Le professionnel n’a rien à faire dans la sphère privée.
      Encore mieux : l’ASE consulte le TAJ, alors que l’accès à ce fichier de la police interne est strictement interdit sauf exceptions. L’évaluation dans le cadre du signalement n’en fait pas partie : la CNIL est formelle à ce sujet.
      Donc, je lis toutes ces pages de mensonges et d’ignominies, rien n’affirme que ma fille est maltraitée.
      Pour ma part, ayant fait des études de droit (non spécialiste en droit de la famille), j’ai pu assurer ma défense, j’ai eu un jour et demi pour m’y préparer. J’ai obtenu l’absence d’éducateur et de TISF pour l’instant. La juge a sursis à statuer.
      Depuis, je me bats pour obtenir mes dossiers médicaux et administratifs. L’ASE refuse de me transmettre mon dossier se cachant derrière le directeur du département qui s’appuie sur l’avis de la commission d’accès aux documents administratifs, en totale contradiction avec le règlement général européen RGPD art.15. J’ai également suggéré à l’Association d’attaquer ces avis de ladite commission, contraires au droit européen qui prime sur le droit national. J’ai porté plainte auprès de la CNIL en espérant qu’elle pourra obtenir mes dossiers ainsi que les pièces manquantes de certains d’entre eux.
      Depuis, je me coltine la dame de la PMI qui une fois, a tenté d’introduire une éducatrice chez moi. N’ayant pas sa carte professionnelle de santé, j’ai pu mettre fin aux visites de l’éducatrice. La décision provisoire m’impose les visites de la dame de la PMI, pas celles d’une éducatrice de la PMI, de l’ASE ou de je-ne-sais-quoi ! Tout ce que cette éducatrice, « spécialiste de l’éveil », a su faire, c’est d’essayer de trouver des « sujets » afin de rédiger un rapport écoeurant. Elle avait dans les 25 ans…
      La juge m’a même obligée à continuer un pseudo-suivi dans un CMP qui ne s’est pas privé de transmettre des ignominies à mon sujet et de faire confiance, car ce sont des professionnelles… J’y suis donc retournée, comment cela peut fonctionner ? Le lien de confiance est rompu ! Heureusement, le code de la santé publique me permet de choisir librement mon praticien !
      Par ailleurs, dès le premier RDV, à l’hôpital pour ma grossesse, la PMI faisait partie de l’agenda.
      Encore plus fort : une des médecins généralistes de la PMI m’a menacée que si je ne revenais pas la voir, cela allait se compliquer pour moi ! Elle m’a même incitée à ne pas prendre RDV avec mon pédiatre. Durant la consultation, c’est moi qu’elle a passé à la loupe et non ma fille. Cette attitude est due à l’impunité dont bénéficient les employés de l’ASE, de la PMI, etc. Grâce au numéro RPPS, consultable sur annuaire.sante.fr, j’ai appris que les 2 médecins de la PMI de mon secteur sont généralistes et non pédiatres. Cela me permet d’avoir un argument supplémentaire pour décliner les consultations. Nénmoins pour que mon dossier soit irréprochable, j’ai pris 2 RDV avec l’une de ces 2 médecins, tout en maintenant les RDV avec le mien qui est le médecin traitant et qui s’occupe des vaccinations, etc.
      Les visites de la dame de la PMI sont complètement inutiles et, en plus, ses conseils sont obsolètes.

      Le comble du comble : lorsque je mets chacun des signataires des ignominies écrites à mon sujet : personne n’a rien dit, nos propos ont été déformés, j’étais en congé maladie…
      Le hic est que j’ai réussi en me battant à amasser des preuves et je ne me priverai pas de porter plainte contre ces personnes. Le code de la santé publique a été baffoué sans vergogne, c’est inadmissible !

      En conclusion, rien de tel pour remonter le moral d’une femme en dépression post-partum (très documentée) que de produire un signalement à son encontre afin de lui pourrir son congé maternité et son existence ainsi que celle de son enfant qui vient de naître !

      Pour information, ma fille est avec moi et elle va bien. Le pire est que personne n’en a rien à faire d’elle !

  2. Duchemole says:

    Tout d’abord, je témoigne sous pseudo par peur des représailles.
    Je suis en symbiose avec le témoignage de Mme Lelièvre.
    J’ai accouché en octobre dernier et au sortir de l’hôpital un signalement est établi à mon encontre. Ce signalement est le fruit d’une maturation depuis le mois de mars dernier, alors que j’étais enceinte. Dès la première consultation, le personnel soignant m’a cataloguée comme cas social, parce que j’allais percevoir le RSA. Je savais que j’allais avoir un faible revenu pendant quelques mois, mais je préférais m’occuper de ma grossesse puis de ma fille à plein temps plutôt que de faire des pieds et des mains pour trouver un travail. Par ailleurs, quel employeur embaucherait une femme qui trois mois plus tard allait entrer en congé maternité ?
    Bref, j’ai fait une dépression pendant la grossesse, car très difficile, et post-partum. Pour me faire aller mieux, le personnel soignant a envoyé un signalement à mon encontre sur la base d’ignominies (10 pages de mensonges et d’horreurs à mon sujet et au sujet de ma famille). L’objectif était de me retirer ma fille sans que ma famille ne puisse se prévaloir de la loi Taquet. Le problème vient d’un décret de 2016 qui permet aux services sociaux de commanditer des évaluations peu importe la véracité des informations recueillies. J’ai suggéré à l’association l’Enfance au coeur d’attaquer ce décret qui est la source de bien trop nombreux abus. En droit privé, si votre voisin publie à l’oral ou à l’écrit que vous êtes une grosse truie, vous pouvez porter plainte et l’attaquer devant la juridiction pénale pour diffamation. Cela n’est pas possible contre l’ASE, car ce décret de 2016 les protège.
    Pour en revenir à mon histoire, j’ai une audience devant le juge des enfants, sans avoir été entendue dans le cadre de l’évaluation, ce qui est contraire à la procédure indiquée dans le décret de 2016. Heureusement, étant juriste de formation, je suis allée consulter mon dossier. Petite précision : dans toutes les procédures judiciaires et administratives, les parties au procès ont le droit d’obtenir une copie des dossiers avec les preuves, etc., sans ministère d’avaocat ; or, devant le juge des enfants, on ne peut consulter le dossier que sur place et pendant une heure seulement. Ce serait bien que l’association l’Enfance au coeur et d’autres associations demandent que s’applique les mêmes règles de procédure devant le juge des enfants, à savoir l’obtention d’une copie du dossier.
    De plus, l’ASE se permet même d’obtenir des informations de la part de France Travail qui, comme par hasard, affirme n’avoir rien transmis à l’ASE. Pourtant, l’établissement est mentionné dans le dossier du juge avec les informations enfonçant encore plus la personne. Donc, l’ASE peut également appeler votre employeur, vos collègues de travail et porter du discrédit à votre sujet, impunément. L’Association devrait également encourager l’adoption d’une loi pénale interdisant à l’ASE de s’intéresser à la vie professionnelle des personnes. Le professionnel n’a rien à faire dans la sphère privée.
    Encore mieux : l’ASE consulte le TAJ, alors que l’accès à ce fichier de la police interne est strictement interdit sauf exceptions. L’évaluation dans le cadre du signalement n’en fait pas partie : la CNIL est formelle à ce sujet.
    Donc, je lis toutes ces pages de mensonges et d’ignominies, rien n’affirme que ma fille est maltraitée.
    Pour ma part, ayant fait des études de droit (non spécialiste en droit de la famille), j’ai pu assurer ma défense, j’ai eu un jour et demi pour m’y préparer. J’ai obtenu l’absence d’éducateur et de TISF pour l’instant. La juge a sursis à statuer.
    Depuis, je me bats pour obtenir mes dossiers médicaux et administratifs. L’ASE refuse de me transmettre mon dossier se cachant derrière le directeur du département qui s’appuie sur l’avis de la commission d’accès aux documents administratifs, en totale contradiction avec le règlement général européen RGPD art.15. J’ai également suggéré à l’Association d’attaquer ces avis de ladite commission, contraires au droit européen qui prime sur le droit national. J’ai porté plainte auprès de la CNIL en espérant qu’elle pourra obtenir mes dossiers ainsi que les pièces manquantes de certains d’entre eux.
    Depuis, je me coltine la dame de la PMI qui une fois, a tenté d’introduire une éducatrice chez moi. N’ayant pas sa carte professionnelle de santé, j’ai pu mettre fin aux visites de l’éducatrice. La décision provisoire m’impose les visites de la dame de la PMI, pas celles d’une éducatrice de la PMI, de l’ASE ou de je-ne-sais-quoi ! Tout ce que cette éducatrice, « spécialiste de l’éveil », a su faire, c’est d’essayer de trouver des « sujets » afin de rédiger un rapport écoeurant. Elle avait dans les 25 ans…
    La juge m’a même obligée à continuer un pseudo-suivi dans un CMP qui ne s’est pas privé de transmettre des ignominies à mon sujet et de faire confiance, car ce sont des professionnelles… J’y suis donc retournée, comment cela peut fonctionner ? Le lien de confiance est rompu ! Heureusement, le code de la santé publique me permet de choisir librement mon praticien !
    Par ailleurs, dès le premier RDV, à l’hôpital pour ma grossesse, la PMI faisait partie de l’agenda.
    Encore plus fort : une des médecins généralistes de la PMI m’a menacée que si je ne revenais pas la voir, cela allait se compliquer pour moi ! Elle m’a même incitée à ne pas prendre RDV avec mon pédiatre. Durant la consultation, c’est moi qu’elle a passé à la loupe et non ma fille. Cette attitude est due à l’impunité dont bénéficient les employés de l’ASE, de la PMI, etc. Grâce au numéro RPPS, consultable sur annuaire.sante.fr, j’ai appris que les 2 médecins de la PMI de mon secteur sont généralistes et non pédiatres. Cela me permet d’avoir un argument supplémentaire pour décliner les consultations. Nénmoins pour que mon dossier soit irréprochable, j’ai pris 2 RDV avec l’une de ces 2 médecins, tout en maintenant les RDV avec le mien qui est le médecin traitant et qui s’occupe des vaccinations, etc.
    Les visites de la dame de la PMI sont complètement inutiles et, en plus, ses conseils sont obsolètes.

    Le comble du comble : lorsque je mets chacun des signataires des ignominies écrites à mon sujet : personne n’a rien dit, nos propos ont été déformés, j’étais en congé maladie…
    Le hic est que j’ai réussi en me battant à amasser des preuves et je ne me priverai pas de porter plainte contre ces personnes. Le code de la santé publique a été baffoué sans vergogne, c’est inadmissible !

    En conclusion, rien de tel pour remonter le moral d’une femme en dépression post-partum (très documentée) que de produire un signalement à son encontre afin de lui pourrir son congé maternité et son existence ainsi que celle de son enfant qui vient de naître !

    Pour information, ma fille est avec moi et elle va bien. Le pire est que personne n’en a rien à faire d’elle !

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