A ce niveau de scandale, à quoi servent les mots ?
Voilà une employée de l’ASE qui communique à son compagnon (violeur et incarcéré), les identités de trois jeunes filles placées, dans un but que l’on suppose pervers … et qui l’est à coup sûr.
Or cette employée est discrètement mise à l’écart puis réintégrée comme secrétaire dans un service annexe et le tapis est remis sur cette « sale affaire » comme l’ont qualifiée quelques élus, outrés par ce scandale.
Récemment, le Parisien fait sa une sur la prostitution de mineures dans les Foyers, voici maintenant que ce type d’horreur pourrait être favorisé de l’intérieur par l’ASE … mais jusqu’à quand les juges vont-ils faire confiance à ces structures censées mettre en oeuvre « la protection de l’enfance » ???
Vivent-ils sur une autre planète ?? Nous demandons des exclusions, des sanctions, des condamnations, une épuration de ces structures d’accueil, là tout de suite !!
Et nous poursuivons notre combat pour que le placement des enfants ne soit fait que lorsqu’il est vital pour l’enfant (familles maltraitant l’enfant) et non pas pour des motifs ridicules et à des fins de business.