5 Commentaires sur “Les familles n’ont jamais été autant dans le viseur des services sociaux”
Maryse Vallée says:
Suffit juste de dire qu’un de tes enfants a été victime d’abus on, enfin, l’aide sociale à l’enfance, aguiche tes autres enfants avec des promesses genre jus de fruits à gogo système pernicieux à souhait mais qui marche. . Bienvenue dans le monde des pervers.
Bonjour,
Suite à une ordonnance de protection, à un placement dans un foyer d’urgence, j’ai la garde de mon fils depuis sa naissance. Il a onze aujourd’hui. Un signalement pour mauvais traitement violence sur mineur a été fait par les médecins d’un hôpital et un juge des enfants a pris parti pour le père avec l’aide de l’association Olga Spitzer. Aucun greffier n’est présent aux audiences du Juge des Enfants et c’est mon fils et moi qui sommes dans le viseur. Le père a reconnu être violent à la police. Il ne paie pas la pension alimentaire depuis plus d’un an. Il n’est pas résident français et aucun huissier ne peut obtenir le versement de la pension, aucune exécution forcée n’est possible, Il m’accuse de sap et la Juge des Enfants le soutient. J’élève seule cet enfant depuis sa naissance, il a eu un droit de visite et depuis deux ans un droit d’hébergement(3 semaines non consécutives). Le vendredi 31 mars 2023, il a pris un billet de train pour que mon fils voyage seul alors que la SNCF n’accepte pas les enfants de moins de 12 ans, le psychologue de l’association Olga Spitzer m’a confirmé par écrit que mon fils devait voyager seul et qu’il serait attendu à la gare Montparnasse par une nouvelle professionnelle de l’enfance pour un rdv de psy, tout cela sur le temps de l’école (il est en CM2). J’ai proposé de l’accompagner en bus de nuit mais sans réponse de leur part. Le père demande au Juge des Enfants en audience le placement de notre fils. Il n’y a pas de greffier. Pour protéger l’enfant, le père devrait se soigner. Mais la justice le soutient dans un rôle de victime et c’est l’enfant qui fait les frais de la défaillance/désintérêt des adultes. Je voudrai vous apporter la preuve des « négligences » de professionnel de l’enfance qui mettent en danger l’enfant pour faire remonter l’information et faire avancer la loi sur la protection de l’enfance.
Bonjour,
Suite à mon précédent message, le jugement du JAF ne délègue pas l’autorité à l’association Olga Spitzer mais aux parents de l’enfant. En outre, j’ai reçu suite à cet incident un écrit du Juge des Enfants qui ne veut pas que les écrits perdurent mais les oraux!
Cordialement
Bonjour,
Nous sommes les parents d’un petit garçon qui malheureusement se retrouve dans le viseur de l’ase malgré tout les objectifs qu’ont à mi en place et des évaluations concluantes la réponse pour un placement est pour septembre en attendant nous sommes terrifier par cette situation que nous avons pas vu venir etant donné qu’ont etaient amies avec l’éducation mais nous gardons courage. A l’heure d’aujourd’hui les parents face à l’ase se retrouvent toujours en situation de stress et d’angoisse
Suffit juste de dire qu’un de tes enfants a été victime d’abus on, enfin, l’aide sociale à l’enfance, aguiche tes autres enfants avec des promesses genre jus de fruits à gogo système pernicieux à souhait mais qui marche. . Bienvenue dans le monde des pervers.
J’ai pas de commentaire particulier autrement que c’est carrément dégueulasse
Bonjour,
Suite à une ordonnance de protection, à un placement dans un foyer d’urgence, j’ai la garde de mon fils depuis sa naissance. Il a onze aujourd’hui. Un signalement pour mauvais traitement violence sur mineur a été fait par les médecins d’un hôpital et un juge des enfants a pris parti pour le père avec l’aide de l’association Olga Spitzer. Aucun greffier n’est présent aux audiences du Juge des Enfants et c’est mon fils et moi qui sommes dans le viseur. Le père a reconnu être violent à la police. Il ne paie pas la pension alimentaire depuis plus d’un an. Il n’est pas résident français et aucun huissier ne peut obtenir le versement de la pension, aucune exécution forcée n’est possible, Il m’accuse de sap et la Juge des Enfants le soutient. J’élève seule cet enfant depuis sa naissance, il a eu un droit de visite et depuis deux ans un droit d’hébergement(3 semaines non consécutives). Le vendredi 31 mars 2023, il a pris un billet de train pour que mon fils voyage seul alors que la SNCF n’accepte pas les enfants de moins de 12 ans, le psychologue de l’association Olga Spitzer m’a confirmé par écrit que mon fils devait voyager seul et qu’il serait attendu à la gare Montparnasse par une nouvelle professionnelle de l’enfance pour un rdv de psy, tout cela sur le temps de l’école (il est en CM2). J’ai proposé de l’accompagner en bus de nuit mais sans réponse de leur part. Le père demande au Juge des Enfants en audience le placement de notre fils. Il n’y a pas de greffier. Pour protéger l’enfant, le père devrait se soigner. Mais la justice le soutient dans un rôle de victime et c’est l’enfant qui fait les frais de la défaillance/désintérêt des adultes. Je voudrai vous apporter la preuve des « négligences » de professionnel de l’enfance qui mettent en danger l’enfant pour faire remonter l’information et faire avancer la loi sur la protection de l’enfance.
Bonjour,
Suite à mon précédent message, le jugement du JAF ne délègue pas l’autorité à l’association Olga Spitzer mais aux parents de l’enfant. En outre, j’ai reçu suite à cet incident un écrit du Juge des Enfants qui ne veut pas que les écrits perdurent mais les oraux!
Cordialement
Bonjour,
Nous sommes les parents d’un petit garçon qui malheureusement se retrouve dans le viseur de l’ase malgré tout les objectifs qu’ont à mi en place et des évaluations concluantes la réponse pour un placement est pour septembre en attendant nous sommes terrifier par cette situation que nous avons pas vu venir etant donné qu’ont etaient amies avec l’éducation mais nous gardons courage. A l’heure d’aujourd’hui les parents face à l’ase se retrouvent toujours en situation de stress et d’angoisse