Une condamnation SCAN-DA-LEUSE .
Un professeur de gym a été condamné à deux ans de prison dont 6 mois ferme pour des agressions sexuelles sur onze fillettes âgées de 5 à 12 ans.
L’aménagement obtenu par ses avocat lui permet d’éviter la détention. Il portera un bracelet électronique à la place.
La justice est elle donc lâche ?
Est-elle laxiste avec les auteurs d’agressions sexuelles sur mineurs ?
LEAC s’indigne, hurle de toute sa force ! Après la condamnation ultra légère de l’ancien maire d’Etretat nous assistons à un éternel recommencement.
La justice fait preuve d’indulgence envers les prédateurs sexuels.
Les jeunes filles ont déclaré avoir été victimes de « gestes » et de « chatouilles » par leur professeur de gymnastique.
Vous rendez vous compte ?
Il s’agit des jeunes filles qui ont parlé, on peut tout à fait supposer que pour onze fillettes
dont la parole s’est libérée , il y a peut-être des dizaines d’enfants qui n’ont pas osé parler.
La société se rend-elle compte ?
L’ascendant qu’avait cet homme là au moment des faits.
On imagine aisément la facilité avec laquelle il a pu commettre ces actes ignobles.
Du fait de sa fonction de professeur et du jeune âge des filles, il a profité de leur vulnérabilité pour les agresser.
L’emploi du terme « jeune âge » est un euphémisme. Les filles avaient entre 5 et 12 ans…
Il n’est pas surprenant d’apprendre que la police a trouvé 500 images pédopornographiques sur le disque dur de l’auteur des faits.
Ils sont partout !
Obligeons la société à être davantage vigilante sur les responsables dans les établissements scolaires.
Protégeons nos enfants, ne laissons pas les prédateurs s’immiscer au plus prés.
Surtout que la justice n’est pas là pour protéger nos victimes.
Il faut que la Justice change.